Nba-XXL
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Nba-XXL


 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
-40%
Le deal à ne pas rater :
Tefal Ingenio Emotion – Batterie de cuisine 10 pièces (induction, ...
59.99 € 99.99 €
Voir le deal

 

 Chicago Bulls

Aller en bas 
AuteurMessage
allivers
Banc All Star
Banc All Star
allivers


Nombre de messages : 650
Date d'inscription : 02/07/2005

Chicago Bulls Empty
MessageSujet: Chicago Bulls   Chicago Bulls EmptySam 3 Déc - 20:59

Chicago Bulls

Club fondé en 1966
Couleurs Rouge, noir et blanc
Stade United Center
(21 711 places)
Titres de champions 1991, 1992, 1993, 1996, 1997, 1998
General Manager John Paxson
Entraîneur Scott Skiles



Historique de la franchise

Les débuts


Les Chicago Bulls ne sont que la seconde franchise NBA implantée à Chicago, après les Packers / Zephyrs (devenus par la suite les Washington Wizards). La franchise joue sa première saison en 1966-67, et bat le record de matchs gagnés par une expansion team en NBA, en se qualifiant pour les play-offs. Les années suivantes, les Bulls assemblent pièce par pièce une équipe compétitive, mais sans jamais atteindre les sommets. Durant les années 1970, les Bulls sont réputés pour être une équipe robuste au style défensif, construite autour des ailiers Jerry Sloan, Bob Love et Chet Walker, du meneur Norm Van Lier, et du pivot Tom Boerwinkle. Néanmoins, la franchise ne remporte qu'un titre de Division, et n'atteint pas les finales.

À la fin des années 1970, les Bulls profitent de l'effondrement d'une ligue concurrente, l'ABA, pour se renforcer en sélectionnant Artis Gilmore. Il mène une équipe composée de hauts choix de draft : Reggie Theus, David Greenwood et Orlando Woolridge. Après le transfert de Gilmore aux San Antonio Spurs pour le pivot Dave Corzine, les Bulls se tournent vers une attaque à haut régime axée autour de Theus, qui inclut rapidement les arrières Quentin Daly et Ennis Whatley. Les performances lamentables obtenues poussent les Bulls à transférer Theus pour la saison 1983-84.


L'arrivée de Michael Jordan
Durant l'intersaison 1984 les Bulls héritent du troisième choix de la draft, après Houston et Portland. Avec le premier choix, les Rockets sélectionnent naturellement Akeem Olajuwon (qui n'a pas encore de « H » dans son prénom), le pivot issu de l'université de Houston.
Les Blazers disposent du second choix. Ils n'hésitent pas longtemps avant de choisir Sam Bowie : le poste d'arrière est déjà pourvu par Clyde Drexler, et les Blazers veulent faire perdurer la tradition du pivot talentueux entamée avec Bill Walton. Sam Bowie aura malheureusement une courte carrière perturbée par les blessures.
Avec le troisième choix, les Bulls sélectionnent un arrière très athlétique qui vient de remporter le titre universitaire avec North Carolina : Michael Jordan.
Il faut savoir qu'à l'époque, les Bulls, ne réalisant pas le potentiel que représentait Jordan, ont essayé d'échanger leur choix de draft quelques jours avant contre un pivot. Mais les discussions entamées avec Seattle et les Clippers n'aboutirent pas. Dans les mentalités de l'époque, une équipe championne se construisait autour d'un pivot, car jamais un arrière dans l'histoire de la ligue n'a dominé le championnat autant qu'un pivot (Bill Russell, George Mikan ou Wilt Chamberlain).

Les Bulls, avec le nouveau propriétaire Jerry Reinsdorf et le nouveau General Manager Jerry Krause, décident de construire la franchise autour de Jordan. Jordan établit deux records du club dès sa première année en menant l'équipe aux points (troisième dans la ligue) et aux interceptions (quatrième dans la ligue). Il ramène l'équipe en play-offs, gagne le titre de rookie de l'année et se voit nommé dans la All NBA Second Team.

Durant l'intersaison la franchise acquiert l'arrière John Paxson et réalise ce qui sera un hold-up en échangeant Ennis Whatley (et Keith Lee) contre Charles Oakley, tout juste drafté par Cleveland. Avec Jordan et Dave Corzine, ce quatuor compose la force offensive des Bulls pour les deux saisons à venir. Pour pallier la blessure de Jordan, indisponible pour la saison, l'équipe acquiert la légende NBA George Gervin qui apporte de l'aide offensive. Les Bulls terminent huitième de la Conférence Est. Jordan revient pour les play-offs affronter les Boston Celtics, auteurs d'une saison monstrueuse avec 67 victoires pour 15 défaites. Chicago est balayée en trois manches, mais Jordan enregistre un nouveau record en marquant 63 points dans un match, ce qui amène son rival Larry Bird à commenter : «c'était Dieu déguisé en Michael Jordan ».

En 1986-87, Jordan mène la ligue avec 37,1 points de moyenne par match et devient le premier Bull nommé dans la All NBA first team. Cependant les Bulls sont encore balayés par les Celtics en play-offs. En 1987 Krause sélectionne le pivot Olden Polynice et l'ailier fort Horace Grant. Polynice est échangé contre Scottie Pippen le jour de la draft. Avec Paxson et Jordan à l'arrière, Brad Sellers et Oakley à l'aile, Corzine au centre, et les rookies Pippen et Grant venant du banc, les Bulls réalisent une belle saison en gagnant 50 matchs et en avançant jusqu'aux demi-finales de Conférence, avant d'être éliminés par les Detroit Pistons. Michael Jordan est pour la première fois nommé meilleur joueur de la saison régulière.

L'intersaison 1989 marque une seconde année consécutive de changements majeurs. Le populaire Charles Oakley qui a mené la ligue aux rebonds en 1987 et 1988, est transféré aux New York Knicks pour le pivot Bill Cartwright et un choix de draft utilisé pour sélectionner Will Perdue. Le nouveau cinq majeur composé de Paxson, Jordan, Pippen, Grant et Cartwright met un peu de temps à se trouver et gagne moins de matchs que la saison précédente. Au premier tour des play-offs, les Bulls affrontent une prometteuse équipe des Cleveland Cavaliers. Ils sont poussés jusqu'au cinquième match décisif. À trois secondes de la fin, les Cavaliers mènent d'un point. À la remise en jeu pour les Bulls, Brad Sellers donne la balle à Jordan qui saute pour tirer. Son défenseur, Craig Ehlo, saute pour tenter de contrer Jordan. Craig Ehlo s'élève, Jordan aussi, mais pendant qu'Ehlo redescend, Jordan s'élève encore, tire et marque le panier de la victoire. Cette action, l'une des plus belle de l'histoire de la ligue, est surnommée « The Shot ». La saison des Bulls s'arrête en finales de Conférence, face aux Detroit Pistons, où ils sont éliminés en 6 matchs. Jordan est malmené et isolé face à la rugueuse défense des Pistons mise au point par Chuck Daly.

En 1989-90, Jordan mène pour la quatrième saison consécutive la ligue aux points par match. Scottie Pippen glane sa première sélection au All-Star Game. L'entraîneur Doug Collins est remplacé par son assistant Phil Jackson. Durant la draft 1989, les Bulls sélectionnent Stacey King et B.J. Armstrong. L'équipe, qui s'améliore, finit cinquième de la Conférence Est.
Après avoir de nouveau éliminé les Cavs en cinq manches au premier tour, les Bulls retrouvent les Pistons en finales de Conférence et les poussent jusqu'au septième match avant d'être éliminés pour la troisième saison consécutive.
Revenir en haut Aller en bas
allivers
Banc All Star
Banc All Star
allivers


Nombre de messages : 650
Date d'inscription : 02/07/2005

Chicago Bulls Empty
MessageSujet: Re: Chicago Bulls   Chicago Bulls EmptySam 3 Déc - 20:59

Les années 1990, et le premier triplé
Pour la saison 1990-91, l'attaque en triangle développée par Phil Jackson est finalement bien assimilée et Jordan comprend qu'il doit jouer avec ses coéquipiers s'il veut remporter le titre NBA. Les Bulls établissent un record de la franchise avec 61 victores, et traversent allègrement les play-offs en balayant les Pistons en finales de Conférence avant de gagner les finales en seulement 5 manches face aux Lakers de Magic Johnson. Michael Jordan est nommé meilleur joueur de la saison régulière et meilleur joueur des finales en plus d'engranger un cinquième titre de meilleur marqueur.

Les Bulls gagnent un second titre consécutif en 1991-92 face aux Blazers après avoir de nouveau battu le record de victoires en saison régulière de la franchise avec 67. Jordan est de nouveau élu meilleur joueur de la saison régulière et des finales, en plus de son sixième titre de meilleur marqueur.

En 1992-93 les Bulls réussissent ce qu'aucune équipe n'avait fait depuis les légendaires Boston Celtics des années 1960 en cherchant un troisième titre consécutif face aux Phoenix Suns de Charles Barkley, avec le tir historique de Paxson qui donne la victoire et le titre lors du sixième match. Jordan est encore meilleur joueur des finales, et égalise le record de Wilt Chamberlain avec sept titres de meilleur marqueur d'affilée.

Mais durant l'été, Jordan choque le monde du basket en annonçant sa retraite, directement liée à l'assassinat de son père quelques mois plus tôt. Les Bulls deviennent alors l'équipe de Scottie Pippen, jusqu'alors fidèle lieutenant de Jordan. Horace Grant et B.J. Armstrong améliorent leurs niveaux de jeu et sont sélectionnés pour la première fois au All-Star Game, où Scottie Pippen est élu meilleur joueur. Le trio est assisté de Cartwright, Perdue, de l'arrière Pete Myers et du rookie croate Toni Kukoc. En dépit de la très bonne saison régulière des Bulls, vainqueurs de 55 rencontres, Chicago perd au second tour des play-offs face aux Knicks.


Le retour de Jordan
En 1995 les Bulls perdent Horace Grant et Bill Cartwritght, partis à Orlando et Seattle, mais signent l'arrière All-Star Ron Harper. L'équipe s'effondre en saison régulière, quand, le 17 mars 1995, Michael Jordan annonce son retour. Il revient immédiatement au niveau des meilleurs joueurs de la ligue, marquant 55 points face aux Knicks dès son cinquième match, et amène les Bulls à la cinquième place de la Conférence Est. Mais Jordan, pas encore au sommet de sa forme, ne peut rien faire pour empêcher son équipe de perdre face au Orlando Magic au second tour des play-offs.

Durant l'intersaison, les Bulls perdent B.J. Armstrong dans l' expansion draft, mais Krause réussit un transfert de génie en échangeant l'anecdotique Will Perdue aux Spurs contre Dennis Rodman. Rodman, meilleur rebondeur de la ligue lors des quatre dernières saisons, est devenu indésirable à San Antonio à cause de son caractère imprévisible, incompatible avec la rigueur militaire de l'entraîneur des Spurs, Gregg Popovitch. Sur le plan purement statistique, l'échange est un hold-up pour les Bulls mais le pari est risqué car le caractère instable de Rodman est susceptible de détruire l'équipe.
Il n'en sera rien. Le trio Jordan-Pippen-Rodman, bien secondé par Toni Kukoc, Ron Harper, Luc Longley et Steve Kerr réussit la meilleure saison de l'histoire de la NBA en remportant 72 victoires pour dix défaites. Jordan est meilleur marqueur de la ligue, Rodman meilleur rebondeur, et Steve Kerr mène la ligue au pourcentage à 3 points. Jordan est meilleur joueur de la saison régulière, du All-Star Game et des finales, Krause est le General Manager de l'année, Kukoc le meilleur sixième homme et Phil Jackson le meilleur entraîneur. Pippen et Jordan sont nommés dans la All NBA First Team, et le trio Jordan-Pippen-Rodman est dans la All NBA First Defensive Team. Les Bulls triomphent des Sonics de Gary Payton et de Shawn Kemp en finales.

Les Bulls répètent leur année d'excellence en 1996-97 en égalisant le deuxième meilleur bilan de l'histoire de la ligue avec 69 victoires. Ils battent en finales le Utah Jazz de Karl Malone et John Stockton. Jordan est pour la neuvième fois meilleur marqueur de la ligue.

L'année suivante, les Bulls remportent une nouvelle fois le Three-peat (trois titres d'affilées) en remportant 62 victoires et le titre NBA de nouveau face au Jazz. Lors du sixième match, Jordan rentre à 6 secondes de la fin le tir décisif qui offre le match et le titre aux Bulls. Il remporte son dixième titre de meilleur marqueur, son cinquième titre de meilleur joueur de la saison régulière et son sixième titre de meilleur joueur des finales. Rodman remporte son septième titre d'affilée de meilleur rebondeur.


Un démantèlement dramatique
L'été 1998 met un terme à cette épopée fantastique. Jerry Krause, sentant qu'il faut tourner la page, remodèle complètement l'effectif en refusant de re-signer Phil Jackson, Dennis Rodman et Steve Kerr ; il transfére Scottie Pippen et Luc Longley contre des joueurs anecdoctiques. Ces mouvements poussent vers la retraite un Michael Jordan qui pouvait être encore hésitant à continuer. L'effectif est médiocre et Krause ne fait rien pour l'améliorer dans l'immédiat. Sa stratégie est simple : réaliser les plus mauvaises performances pour augmenter ses chances d'obtenir des hauts choix de draft, qu'il pourra coupler avec la signature de joueurs de gros calibre dans quelques années. Toni Kukoc mène l'équipe aux points, aux rebonds et aux passes décisives, qui ne gagne que 13 des 50 matchs d'une saison réduite à cause de la grève des joueurs.

Avec la draft les Bulls sélectionnent Elton Brand et Ron Artest. Toni Kukoc est transféré durant la saison à Philadelphie. Elton Brand devient le premier Bulls depuis Artis Gilmore à enregistrer 20 points et 10 rebonds de moyenne. Avec Artest, il est la seule satisfaction de la franchise qui établit un bilan de 17 victoires pour 65 défaites, le pire de la franchise, seulement 4 ans après avoir établi le record historique de victoires en saison régulière.

Krause n'arrive pas à signer des joueurs de haut niveau durant l'intersaison, il se tourne vers des jeunes joueurs : Brad Miller et Ron Mercer, signés en agents libres, ainsi que Marcus Fizer et Jamal Crawford, sélectionnés lors de la draft. Brand finit meilleur marqueur et rebondeur de la franchise, mais l'équipe est trop jeune et établit un nouveau record de défaites avec seulement 15 victoires pour 67 défaites.

À l'intersaison suivante Krause choque les fans des Bulls en transférant Elton Brand aux Los Angeles Clippers contre le second choix de la draft Tyson Chandler. Il sélectionne également Eddy Curry avec le quatrième choix. Les deux joueurs sont directement issus du lycée, Krause ne s'attend évidemment pas à ce qu'ils fassent une contribution significative durant leurs premières années. Il transfère en cours de saison ses trois meilleurs marqueurs (Artest, Mercer et Miller) pour Jalen Rose, certainement le joueur le plus polyvalent de l'équipe depuis Jordan et Pippen. L'entraîneur Tim Floyd est remplacé par Bill Cartwright, et l'équipe s'améliore pour passer de 15 à 21 victoires à la fin de la saison. Les Bulls sont toujours derniers de la ligue.

Pour la saison 2002-2003, les Bulls sélectionnent Jay Williams avec le second choix de la draft. Toujours menés par Rose, assisté de Crawford, Fizer, Donyell Marshall, Eddy Curry, Tyson Chandler et Trenton Hassell, les Bulls forment une équipe jeune et excitante qui gagne 30 matches pour la première saison complète de Cartwright en tant que coach. Durant l'été 2003, les Bulls font face à de nombreux changements. Jerry Krause, General Manager de l'équipe depuis 19 ans, se retire pour laisser place à Jim Paxson. Jay Williams, à l'issue d'une saison rookie prometteuse, se blesse gravement lors d'un accident de moto. Paxson choisit Kirk Hinrich avec le septième choix de la draft, et signe Scottie Pippen qui effectue son grand retour dans la franchise pour terminer sa carrière, et épauler les jeunes.

Mais la saison 2003-2004 est une déception. Eddy Curry ne développe pas son niveau de jeu comme prévu, et fait preuve de manque d'efforts et d'engagement. Tyson Chandler souffre d'un problème de dos chronique et manque plus de 30 matchs. Scottie Pippen doit gérer des problèmes au genou et Jamal Crawford demeure inconsistent. Bill Cartwright est limogé en décembre 2003 pour être remplacé par Scott Skiles. Un échange avec les Raptors envoie Rose et Marshall à Toronto contre Antonio Davis et Jerome Williams. L'équipe termine avec 23 victoires, deuxième pire équipe de la ligue.

Durant l'intersaison 2004, Paxson transfère un futur choix de draft aux Phoenix Suns contre un choix supplémentaire pour la draft à venir. Disposant du 3e et du 7e choix, les Bulls sélectionnent l'arrière Ben Gordon et l'ailier Luol Deng. Scottie Pippen, souffrant de problèmes au genou, prend sa retraite. Jamal Crawford, libre de tout contrat, signe à New York.

La saison 2004-05 dépasse toutes les attentes et les Bulls se qualifient en playoffs pour la première fois de l'ère post-Jordan après un départ catastrophique (la saison commence avec 9 défaites consécutives).
Ben Gordon s'avère être un joueur décisif dans les instants cruciaux des matchs ; il est élu meilleur sixième homme de l'année, et second au vote du rookie de l'année qui revient à Emeka Okafor.
Affrontant au premier tour les Washington Wizards avec l'avantage du terrain mais sans deux de leurs quatre meilleurs marqueurs (Eddy Curry est au repos forcé suite après qu'on lui ait décelé des battements irréguliers du cœur et Luol Deng s'est blessé à la main), les Bulls perdent la série en 6 manches alors qu'ils avaient remporté les deux premiers matchs.


Palmarès
Champions NBA : 1991, 1992, 1993, 1996, 1997, 1998

Maillots retirés
4 - Jerry Sloan ; cérémonie le 17 février 1978
10 - Bob Love ; cérémonie le 14 janvier 1994
23 - Michael Jordan ; cérémonie le 1er novembre 1994
General manager - Jerry Krause GM de 1985 à 2003; cérémonie le 31 octobre 2003
Entraîneur - Phil Jackson Entraîneur de 1989 à 1998 ; cérémonie le 5 mai 1999
Revenir en haut Aller en bas
 
Chicago Bulls
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Chicago bulls
» Chicago Bulls
» Chicago Bulls
» Chicago Bulls [alleniverson]
» SACRAMENTO KINGS - CHICAGO BULLS

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Nba-XXL :: NBA :: Histoire :: Equipes-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser